Lived Ancient Religion in North Africa – University Carlos III of Madrid 19-21 February 2020

Lived Ancient Religion in North Africa

University Carlos III of Madrid 19-21 February 2020

Organised by
Valentino Gasparini & María Fernández Portaencasa (Universidad Carlos III de Madrid)

Call For Papers (ENGLISH)

The LARNA project (Lived Ancient Religion in North Africa), based at the Institute of Historiography ‘Julio Caro Baroja’ (University Carlos III of Madrid) and funded the Autonomous Community of Madrid, invites researchers of ancient history, history of religion, archaeology, anthropology, classical studies, and further related fields to discuss the topic of “Lived Ancient Religion in North Africa”.

As the title of this International Conference clearly suggests, the theoretical framework of this meeting is inscribed within the paradigm of Lived Ancient Religion (hereafter LAR), developed in Erfurt between 2012 and 2017 and supervised by Jörg Rüpke. LAR supports a methodological shift from the idea that the dominant structure in the Graeco-Roman World was based on the routinised and institutionalised performance of public, collective rites driven by the elite ideology (i.e. the polis– orcivitas-religion) to a focus on the individual as an active actor, capable of situational and creative innovation. Sharing this perspective, this conference will deal with religious agency not as a ‘normalising’ action by representatives of institutional entities or local oligarchies, but as creative innovation by decision-makers who consciously modified established religious patterns. The main sociological reference point for this conference lies in Michel de Certeau’s concepts of bricolagiste appropriation and re-contextualisation, which take into account the processes by which individuals select, construct and vary religious offers, as well as the concepts (and limits) of group membership and of normative and deviant behaviours.

Speakers are invited to examine Roman Africa (corresponding nowadays to Morocco, Algeria, Tunisia and Libya) as the arena of situationally-dependent innovations and adaptations by a number of local small-scale religious actors who freely used religion as a resource to respond to emerging dilemmas, generate religious experiences encompassing the human body and the material environment, and communicate these experiences through multifarious narratives and strategies of emotional saturation. Therefore, we aim to avoid any overemphasis on allegedly shared religious worldviews, divine entities, religious symbols, and myths, but rather to highlight specific authorial micro-strategies in the construction of religious narratives and perspectives, and to specify the relationship between religious experience, group-formation, and textuality in different contexts and periods. Speakers are encouraged

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to answer to the following questions: How did religion enlarge and strengthen interpersonal engagement and individual agency in Roman Africa? What stimuli and sense-scapes did generate religious experiences? How did individuals of different social statuses, genders, and ages, with different engagements in religious praxis (practitioners, borderline specialists, devotees), experience a given phenomenon as ‘religious’? How was this experience interpreted and communicated? Why was religion invoked strategically in interpersonal communication? Who were the specialists in charge of mediating and properly addressing this communication thanks to their specific competence and knowledge? What were the media interactively employed in the processes of encoding and decoding the message?

Proposals including a title and an abstract of 300-500 words should be sent to María Fernández Portaencasa (fportaen@hum.uc3m.es) by 30 June 2019. We accept papers in English and French language. All costs of travel (up to 200 euros), food, and accommodation (2 nights) will be covered by the organisation. The proposals will be scrutinized by a Scientific Committee composed by Jaime Alvar (Universidad Carlos III de Madrid), Nicole Belayche (École Pratique des Hautes Études, Paris), Lamia Ben Abid (Université de la Manouba), Nacéra Benseddik (Université d’Alger), Corinne Bonnet (Université de Toulouse Jean Jaurès), Liliane Ennabli (Université Paris IV Sorbonne), Layla Es-Sadra (Université Mohamed V de Rabat), Richard L. Gordon (Universität Erfurt), Attilio Mastino (Università degli Studi di Sassari), Sergio Ribichini (Consiglio Nazionale delle Ricerche, Roma), Jörg Rüpke (Universität Erfurt), Greg Woolf (Institute of Classical Studies, London).

Lived Ancient Religion in North Africa

Université Carlos III de Madrid 19-21 février 2020

Organisé par
Valentino Gasparini et María Fernández Portaencasa (Université Carlos III de Madrid)

Call For Papers (FRANÇAIS)

Le projet LARNA (Lived Ancient Religion in North Africa), basé à l’Institut d’Historiographie « Julio Caro Baroja » (Université Carlos III de Madrid) et financé par la Communauté autonome de Madrid, invite des chercheurs en histoire ancienne, histoire des religions, archéologie, anthropologie, études classiques et autres domaines connexes pour débattre du thème « Lived Ancient Religion in North Africa » (la religion ancienne « vécue » en Afrique du Nord).

Comme le titre de ce Colloque International le suggère clairement, le cadre théorique de cette réunion s’inscrit dans le paradigme de Lived Ancient Religion (ci-après LAR), développé à Erfurt entre 2012 et 2017 et supervisé par Jörg Rüpke. LAR encourage un changement de méthodologie, en passant de l’idée que la structure dominante du monde gréco-romain reposait sur la performance systématique et institutionnalisée de rites publics et collectifs guidés par l’idéologie de l’élite (à savoir la religion de la polis ou civitas) à l’individu en tant qu’acteur actif, capable d’innovations situationnelles et créatives. Partageant une telle perspective, le Colloque ne traitera pas des agents religieux en tant que représentants d’entités institutionnelles ou d’oligarchies locales, mais en tant que porteurs d’innovations créatives et de décisions qui modifient consciemment les modèles religieux établis. Le point de référence sociologique principal de ce Colloque réside dans les concepts d’appropriation bricolagiste et de re-contextualisation de Michel de Certeau, qui prennent en compte les processus par lesquelles les individuels sélectionnent, construisent et modifient les offres religieuses, ainsi que les concepts (et limites) d’appartenance à des groupe et de comportements normatifs et déviants.

Les orateurs sont invités à examiner l’Afrique romaine (qui correspond aujourd’hui au Maroc, à l’Algérie, à la Tunisie et à la Libye) en tant qu’espace d’innovations et d’adaptations dépendant de la situation liées à un certain nombre d’acteurs religieux locaux qui ont librement utilisé la religion comme ressource pour répondre aux situations nouvelles, générer des expériences religieuses englobant le corps humain et l’environnement, et communiquer ces expériences à travers des récits et des stratégies multiples de saturation émotionnelle.

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C’est pourquoi nous souhaitons éviter de mettre trop l’accent sur des conceptions religieuses du monde prétendument partagées, sur les entités divines, sur les symboles religieux et les mythes. Par conséquent, nous visons à éviter toute insistance excessive sur des conceptions religieuses du monde prétendument partagés, des entités divines, des symboles religieux et des mythes, et à mettre plutôt en évidence les micro-stratégies spécifiques des auteurs dans la construction de récits et de perspectives religieuses, et à donner corps à la relation entre expérience religieuse, formation de groupe et textualité dans différents contextes et périodes. Les intervenants sont encouragés à répondre aux questions suivantes : Comment la religion a-t-elle élargi et renforcé l’engagement interpersonnel et l’agentivité individuelle en Afrique romaine ? Quels stimuli et quels paysages sensoriels ont généré des expériences religieuses ? Comment des individus de statuts sociaux, de sexes et d’âges différents, engagés différemment dans la praxis religieuse (praticiens, spécialistes borderline, adeptes), perçoivent-ils un phénomène donné comme étant « religieux » ? Comment cette expérience a-t-elle été interprétée et communiquée? Pourquoi la religion a-t-elle été invoquée de manière stratégique dans la communication interpersonnelle ? Qui étaient les spécialistes en charge de cette compétence et de cette connaissance spécifique ? Quels sont les médias employés de manière interactive dans les processus de codage et de décodage du message ?

Les propositions comprenant un titre et un résumé de 300 à 500 mots doivent être envoyées à María Fernández Portaencasa (fportaen@hum.uc3m.es) avant le 30 june 2019. Nous acceptons des communications en anglais et en français. Tous les frais de voyage (jusqu’à 200 euros), de restauration et d’hébergement (2 nuits) seront pris en charge par l’organisation. Les propositions seront examinées par un comité scientifique composé de Jaime Alvar (Universidad Carlos III de Madrid), Nicole Belayche (École Pratique des Hautes Études, Paris), Lamia Ben Abid (Université de la Manouba), Nacéra Benseddik (Université d’Alger), Corinne Bonnet (Université de Toulouse Jean Jaurès), Liliane Ennabli (Université Paris IV Sorbonne), Layla Es-Sadra (Université Mohamed V de Rabat), Richard L. Gordon (Universität Erfurt), Attilio Mastino (Università degli Studi di Sassari), Sergio Ribichini (Consiglio Nazionale delle Ricerche, Roma), Jörg Rüpke (Universität Erfurt), Greg Woolf (Institute of Classical Studies, London).


L’assemblea della Scuola acheologica italiana di Cartagine, Roma 5 aprile 2019, Odeion dell’Universtà




Il 5 aprile Attilio Mastino è stato confermato all’unanimità a Roma presso l’Odeion presidente della Scuola archeologica italiana di Cartagine per il triennio 2019-2021.
Presidente onorario Piero Bartoloni, segretario Sergio Ribichini, tesoriere Michele Guirguis.
Presenti l’ambasciatore tunisino Moez Sinnaoui, il Direttore del Maeci Francesco Tafuri, il Direttore del Dipartimento di scienze dell’antichità Giorgio Piras. Eletti anche Antonio Corda, Savino Di Lernia, Maria Antonietta Rizzo, Pier Giorgio Spanu, Alessandro Teatini.

Erano presenti l’Ambasciatore tunisino Moez Sinaoui, il Direttore del MAECI Francesco Tafuri, e il Direttore del Dipartimento di Scienze dell’antichità Giorgio Piras.

Friday, April 5, in Rome, Attilio Mastino was confirmed President of the Italian Archaeological School of Carthage, i.e. SAIC Scuola Archeologica Italiana di Cartagine.
Honorary President Piero Bartoloni, Secretary Sergio Ribichini, Treasurer Michele Guirguis. Antonio M. Corda, Savino Di Lernia, Maria Antonietta Rizzo, Pier Giorgio Spanu, and Alessandro Teatini were also elected in the Scientific Council.
The Tunisian Ambassador Moez Sinaoui, the Director of MAECI Francesco Tafuri, and the Director of the Department of Sciences of Antiquity of Sapienza Università di Roma Giorgio Piras were present.



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La scomparsa di un grande studioso e di un amico: Sebastiano Tusa

 

 

 

Bishoftu (Etiopia), 10 marzo 2019. Oggi è scomparso il nostro carissimo Sebastiano Tusa nel tragico incidente aereo della linea Ethiopian Airlines partito da Addis Abeba con destinazione Nairobi,  dove era diretto per prendere parte ad un progetto dell’UNESCO. Amico della Scuola archeologica italiana di Cartagine, Tusa è stato compagno di tante avventure con Piergiorgio Spanu, Raimondo Zucca e i loro allievi, tra Pantelleria, il Nord Africa, la Sardegna, la Sicilia (da Mozia alle Isole Egadi, dove ha ritrovato i celebri rostri delle navi affondate nella battaglia vinta da M. Lutazio Catulo nel 241 a.C. alla fine della prima guerra punica).

Fondatore nel 2004 della Soprintendenza del Mare della Regione Siciliana, Soprintendente per oltre un decennio e dall’11 aprile 2018 assessore ai Beni Culturali per la Regione Siciliana con Nello Musumeci.  

Dagli anni 2000 è stato docente di Archeologia Marina nel corso di laurea triennale in Biologia Marina, con sede a Trapani dell’Università di Palermo. Nella stessa Università (Facoltà di Architettura) ha insegnato Metodi e Tecniche della Ricerca Archeologica.  È stato, inoltre, professore di Paletnologia presso l’Università degli Studi Suor Orsola Benincasa di Napoli e docente a contratto alla Scuola di Lettere e Beni culturali dell’ Università degli studi di Bologna

Nell’anno accademico 2015-16 è stato docente a contratto presso l’Università Philipps di Morburgo (Germania).

Figlio dell’ archeologo Vincenzo Tusa,  era laureato in lettere con specializzazione in Paletnologia. Dirigente della Regione Siciliana,  negli anni novanta fu responsabile della sezione archeologica del Centro Regionale per la Progettazione e il Restauro. Nel 2003, durante scavi da lui diretti a Pantelleria vennero ritrovati imperanti ritratti romani.

Abbandonata la ricerca sul campo, si è occupato di amministrazione dei beni culturali nei ruoli della Regione Siciliana, guidandola Soprntendenza di Trapani.  Ha promosso missioni archeologiche in Italia, Pakistan, Iran e Iraq. Nel 2008 ha realizzato un film documentario con Folco Quilici sulla preistoria mediterranea a Pantelleria.

Dal gennaio 2010 Socio onorario dell’Associazione Nazionale Archeologi.

Socio ordinario della Società Italiana di Antropologia ed Etnologia (Firenze) (dal 1975).

Socio ordinario della “Indian Archaeological Society, care Archaeological

Survey of India” (New Delhi) (dal 1975).

Socio ordinario della Società Italiana di Ecologia Umana (Firenze) (dal 1982).

Socio della Società Siciliana di Scienze Naturali (Palermo) (dal 1984).

Socio dell’Istituto Gramsci Siciliano (dal 1984).

Membro collaboratore dell’Istituto Italiano di Preistoria e Protostoria

(Firenze) (dal 1990).

Socio (fondatore) del Rotary Club Palermo Teatro del Sole (dal 1992).

Socio ordinario della Società Siciliana per la Storia Patria (dal 1994).

Socio dell’AIASUB (Associazione degli Archeologi Subacquei) (dal 1994).

Socio dell’Istituto di Studi per il Medio ed Estremo Oriente (IsMEO), oggi

Istituto Italiano per l’Africa e l’Oriente (ISIAO), (dal 1995).

Socio della European Association of Archaeologist (dal 1998).

Socio corrispondente dell’Istituto Archeologico Germanico (dal 2001).

Socio onorario del Club Unesco di Trapani (dal 2004).

Accademico dell’Accademia Internazionale di Scienze e Tecniche Subacquee

di Ustica (dal 2004).

Socio onorario dell’Associazione “Trireme” di Siracusa (dal 2006).

Ha spesso partecipato ai nostri convegni de L’Africa Romana, come a Rabat nel 2004: vd. ad esempio L.Abelli, R.Baldassari, S.Mantellini, S.Tusa, L’insediamento tardo-romano della Baia di Scauri (isola di Pantelleria).

Dati preliminari delle nuove ricerche, L’africa romana, Mobilità delle persone e dei popoli, dinamiche migratorie,

emigrazioni ed immigrazioni nelle province occidentali dell’Impero romano, Atti del XVI convegno di studio, Roma 2006, 2439-2456

Autore di oltre 700 articoli scientifici. Si segnalano tra le sue opere:

S.Tusa, La Preistoria in Sicilia, Quaderni di Sicilia Archeologica, 1, 1987.

S.Tusa, R.Vento, Gli Elimi, Trapani 1989.

G.Nenci, S.Tusa, V.Tusa, Gli Elimi e l’area elima, Palermo 1990.

S. Tusa, La preistoria del territoriodi Trapani, Marsilio 1990.

S. Tusa, Mozia, Publisicula 1990.

M.Marazzi, S.Tusa, Vivara, centro commerciale mediterraneo dell’età del bronzo, vol.I, Roma 1991.

S.Tusa, La preistoria del basso Belice e della Sicilia meridionale nel quadro della preistoria siciliana e mediterranea, Palermo 1994.

S. Tusa, Sicilia Preistorica, Dario Flaccovio Editrore 1994.

S.Tusa, Prima Sicilia, alle origini della società siciliana, Ediprint, Palermo 1997

S.Tusa, Partanna nella preistoria, l’insediamento di Stretto, Partanna 1999

S.Tusa, Archeologia Subacquea, Nuove Effemeridi, XII, 46, 1999/II

S. Tusa, La Sicilia nella preistoria, Sellerio 1999.

V.Li Vigni, S.Tusa, Strumenti per la protezione del patrimonio culturale marino, aspetti archeologici, Giuffrè editore, Milano 2002

S.Santoro Bianchi, G.Guiducci, S.Tusa, Pantellerian Ware, Dario Flaccovio Editore, Palermo 2003

G.Grotta, A.Scuderi, S.Tusa, A.Vintaloro, Atti del I Congresso Internazionale di Preistoria e Protostoria siciliane, Corleone 17-20 luglio 1997, Corleone 2004

S.Tusa, Pantelleria e l’archeologia, Imed, Pantelleria 2004

S.Tusa, Pantelleria, i ritratti imperiali tra storia e archeologia, Regione Siciliana 2004

S.Tusa, I Santuari della Gaggera, Regione Siciliana 2003

S.Tusa, Il mare delle Egadi, Regione Siciliana 2005

S.Tusa, Latitudine 24°52’.547N Longitudine 041°53’.243E, operazione recupero, Mazara del Vallo – Selinunte 2004,Palermo 2005

M.Marazzi e S.Tusa, Pantelleria 1, Salerno 2007

S.Tusa, Arcipelago Sicilia Beni culturali nelle isole minori siciliane, Palermo 2008

S.Tusa, Pantelleria 2, Salerno 2009

S.Tusa & C.Buccellato, Le orme dei giganti, Palermo 2009

S.Tusa & V.P.Li Vigni Tusa, La cooperazione nel Mediterraneo per la protezione del patrimonio culturale subacqueo, Palermo 2010

S.Tusa, Selinunte, L’Erma di Bretschneideir, Roma 2010

S. Tusa, Archeologia e storia dei mari della Sicilia, Magnus 2010.

S. Tusa, Selinunte, L’Erma di Breetschneide 2011.

S. Tusa, Sicilia archeologica, Edizioni di storia e studi sociali, 2015.

S. Tusa, Primo Mediterraneo: Meditazioni sul mare più antico della storia, Edizioni di storia e studi sociali, 2017.

S. Tusa, I popoli del Grande Verde. Il Meditrerraneo al tempo dei faraoni, Edizioni di Storia e studi sociali 2018.

 

Vogliamo esprimere in questa occasione la nostra vicinanza alla famiglia, agli allievi, agli studenti, ai suoi colleghi. In particolare al nostro Pier Giogio Spanu, fortemente colpito da questa tragedia del tutto inattesa, all’indomani di TurismA di Firenze.

 

Attilio Mastino

 

 

 

La presentazione del volume Carthage a Roma

Venerdì 5 aprile 2019, ore 17, Odeion, Dipartimento di Scienze dell’Antichità,
Facoltà di Lettere e Filosofia – Sapienza Università di Roma, Piazzale Aldo Moro, 5, in Roma

Presentazione del volume:

Carthage, maîtresse de la Méditerranée, capitale de l’Afrique (Histoire & Monuments, 1), (IXe siècle avant J.-C. — XIIIe siècle). AMVPPC, SAIC Sassari, Tunisi 2018, S. AOUNALLAH, A. MASTINO (CUR.)
realizzato dalla Società Scientifica Scuola Archeologica Italiana di Cartagine, in collaborazione con l’Agence de Mise en Valeur du Patrimoine et de Promotion Culturelle de la Tunisie.
L’incontro sarà preceduto alle 15 nella stessa sede dall’Assemblea della Scuola Archeologica Italiana di Cartagine. Nell’occasione sarà possibile iscriversi e pagare la quota annuale.
Saranno disponibili anche i primi tre fascicoli della rivista “Cartagine studi e ricerche” CaSteR e la Monografia sugli scavi italo-tunisini.
Saranno presenti colleghi dell’Institut National du Patrimoine e dell’Agence de Mise en Valeur du Patrimoine et de Promotion Culturelle de la Tunisie.
Sono stati invitati il Direttore dell’Istituto Italiano di Cultura di Tunisi Maria Vittoria Longhi e i referenti per l’archeologia del MAECI.
Programma
Saluto di Giorgio Piras
Direttore del Dipartimento di Scienze
dell’Antichità, Sapienza Università di Roma
Saluto di Savino Di Lernia
Dipartimento di Scienze dell’Antichità
Sapienza Università di Roma
Saluto di Daouda Sow
Agence de Mise en Valeur du Patrimoine
et de Promotion Culturelle de la Tunisie
Saluto delle autorità
Intervento di presentazione di
Maria Antonietta Rizzo
Università di Macerata
Intervento degli Autori
Intervento di Samir Aounallah
Institut National du Patrimoine di Tunis
Conclusioni di Piero Bartoloni e Attilio Mastino
Presidente onorario e Presidente della SAIC

L’Assembla della Scuola acheologica italiana di Cartagine, 6 aprile a Roma

L’Assemblea dei Soci della SAIC è convocata per il giorno 4 aprile alle ore 8,00 in prima convocazione e per il giorno venerdì 5 aprile 2019 alle ore 15 in seconda convocazione (quest’ultima valida qualunque sia il numero dei presenti), presso l’aula “Odeion” del Dipartimento di Scienze dell’Antichità nell’edificio della Facoltà di Lettere e Filosofia – Sapienza, Università di Roma, Piazzale Aldo Moro, 5, in Roma, per discutere e deliberare sul seguente ordine del giorno:

1.       Nomina della commissione elettorale e costituzione del seggio elettorale (aperto dalle 15 alle 16,15);
2.       Ammissione dei nuovi Soci;
3.       Approvazione della Relazione annuale del Presidente;
4.       Intervento del Presidente onorario;
5.       Approvazione del Rendiconto finanziario per l’anno 2018 (previa lettura della Relazione del Collegio dei Revisori Contabili);
6.       Approvazione del Bilancio di previsione per l’anno 2019 (intervento del Tesoriere);
7.       Rinnovo delle cariche sociali per il triennio 2019-21 (in particolare del Presidente, del Presidente onorario, di sette membri del Consiglio scientifico e dei due Revisori);
8.       Attività in programma;
9.       Varie ed eventuali.

Seguirà la riunione del nuovo Consiglio Scientifico per l’elezione del Tesoriere alle ore 16,45. Il nome del Segretario sarà comunicato dal Presidente eletto.

Quanti non possono partecipare alla Assemblea, di persona o per delega, possono inviare la scheda elettorale allegata (compilata e chiusa in busta anonima posta in altra busta recante nome e indirizzo del mittente) al seguente indirizzo:

Dott. Sergio Ribichini, Segretario SAIC
Piazza Tommaso de Cristoforis, 1, scala N, interno 1;
00159 Roma.

Cartagine maestra e capitale del Mediterraneo secondo Emanuele Gentile

Cartagine maestra e capitale del Mediterraneo

Grazie ai Proff. Piero Bartoloni e Sergio Ribichini della SAIC (sigla per: Scuola Archeologica Italiana di Cartagine) abbiamo approfondito l’analisi del meraviglioso volume “Carthage, Maîtresse de la Méditerranée, Capitale de l’Afrique”
di Emanuele G. – lunedì 25 febbraio 2019 – 64 letture

“Carthage, Maîtresse de la Méditerranée, Capitale de l’Afrique” è un volume che mi ha affascinato profondamente in quanto rivela nella sua maestosa grandezza una città immortale del Mediterraneo. Una città che ha giocato un ruolo fondamentale su quattro scenari: Africa, Mediterraneo, Vicino Oriente ed Europa.

Da qui la necessità di approfondire la tematica andando oltre la semplice recensione del volume.

Pertanto, ho invitato i Prof. Bartoloni e Ribichini a scavare ancora più a fondo al fine di cogliere l’intima anima di Cartagine.

Il Prof. Sergio Ribichini, Segretario della SAIC, ha svolto un’ampia introduzione dove si evincono altri preziosi dettagli su Cartagine, mentre il Prof. Piero Bartoloni, Presidente Onorario della SAIC, ha risposto ad alcune nostre domande.

Eccovi, dunque, l’introduzione del Prof. Ribichini.

Esito molto a considerare vari punti, giacché tanto le prime domande (le domande sono quelle che ho posto al Prof. Bartoloni – nda) , quanto un po’ tutti i quesiti che lei pone, riguardano le fasi di ideazione, progettazione e realizzazione dello splendido volume: fasi che sono state curate da altri, non da me, intendo in particolare da Attilio Mastino e Samir Aounallah. Io sono stato invitato a partecipare con un contributo specifico, e ho comunque preso parte a tutte le fasi di discussione preliminare dei vari capitoli, giacché i due curatori sopra menzionati, una volta concepito il volume, hanno seguito il metodo della piena condivisione democratica di tutto il lavoro: di fatto, i singoli contributi sono stati fatti circolare nella loro prima stesura e dopo una revisione dei curatori, in modo che gli Autori (come vede siamo tanti autori, di varie nazionalità, interessi e competenze specifiche) potessero tenere conto del lavoro degli altri per il proprio e assicurare una omogeneità generale a tutta la pubblicazione.

Con i curatori ho poi scambiato varie considerazioni, su alcuni punti specifici. La poliedricità degli approcci e delle competenze dei singoli autori è, a mio avviso, grazie al lavoro di coordinamento che le ho appena sintetizzato, un altro degli elementi qualificanti di quest’opera, che lei stesso ha bene individuato, nella capacità che il volume ha di affrontare una notevole quantità di questioni. Per questo, inoltre, mi pare riuscito l’obiettivo di presentare Cartagine come “regina” del Mediterraneo, con un approccio innovativo, originale e aggiornatissimo che, avendo chiamato a raccolta tanti studiosi impegnati nei vari campi della ricerca contemporanea, difficilmente potrà essere eguagliato in tempi brevi e con così qualificate competenze. Provi a scorrere i capitoli e verifichi lei stesso nomi e ruoli degli autori: noti e meno noti, sono tutti protagonisti degli studi su Cartagine, dai più anziani (taluni oggi in pensione, come me) ai giovani che dai suddetti anziani sono indirizzati e incoraggiati per il loro dottorato e il loro inserimento nei ruoli della conoscenza e della salvaguardia del patrimonio culturale tunisino.

E pur appartenendo a diverse nazionalità, ci conosciamo quasi tutti, giovani e meno giovani. Il volume è “unico”, come dice lei, anche per questo, senza false modestie né nazionalismi. Mi lasci poi sottolineare altri due aspetti, che a me paiono altrettanto peculiari e qualificanti. Il primo è nel nome e nei curricola dei due curatori dell’opera: un italiano (professore di Storia Romana di vastissima notorietà internazionale) qual è appunto il prof. Attilio Mastino, e un tunisino (un Dirigente di ricerca dell’Institut National du Patrimoine, di altrettanta fama internazionale, responsabile di progetti scientifici congiunti con Paesi stranieri e molto impegnato anche nella Valorizzazione del patrimonio culturale tunisino) qual è il collega Samir Aounallah. Una coppia di nomi di alto profilo, che non solo non dimentica “a priori” il fatto che Cartagine sia patrimonio tunisino, ma che offre con questo volume un altro importante risultato di una collaborazione italo-tunisina che dura da decenni e con ottimi frutti. Un volume, per di più, realizzato con metodo democratico, condiviso tra i vari autori. Ho sui miei scaffali varie iniziative enciclopediche cui ho partecipato nel corso degli anni, dal Catalogo della Mostra “I Fenici” del 1988 a Palazzo Grassi di Venezia (tradotto in francese, inglese, tedesco, ancora in commercio), a quello per l’esposizione del Badische Landesmuseum di Karlsruhe del 2004-2005, col titolo “Hannibal ad portas. Macht und Reichtum Karthagos”, edito solo in lingua tedesca, e proseguire con varie enciclopedie delle religioni per le quali ho scritto i capitoli relativi ai Fenici e a Cartagine, in italiano e in francese. Potrei citare anche altri volumi collettanei, per lo più cataloghi di esposizioni importanti, come “La Méditerranée des Phéniciens de Tyr à Carthage” (Institut du monde arabe, Parigi 2007-2008), o anche “Carthage, Fact and Myth” (Rijksmuseum van Oudheden, di Leida, 2014-2015).

Sarebbe facile verificare, al confronto, la ricchezza dei materiali, la novità delle scoperte, l’originalità di questo volume che, ripeto, non è frutto della collaborazione estemporanea di due singoli studiosi ma è risultato di un lavoro condiviso con pari dignità da studiosi tunisini e stranieri per presentare il patrimonio archeologico di Cartagine, con i suoi tesori e la sua storia che ancora oggi, specie dopo gli avvenimenti sanguinosi al Bardo del marzo 2015, rappresenta un elemento di solidarietà culturale e sociale per tutti i paesi del Mediterraneo. Cito non a caso il principale Museo di Tunisi, giacché questo volume su Cartagine fa seguito a un altro, di analogo impianto, curato sempre da Samir Aounallah con la partecipazione di altri studiosi, tunisini ed europei, in omaggio alle vittime di quell’attentato. Parlo di “Un monument, un musée: Je suis Bardo”, Testi raccolti da Samir Aounallah, opera di ricercatori (anche italiani) che descrivono le diverse collezioni del Museo. Ho motivo di credere, insomma, e non per vana e falsa presunzione (io ho fatto ben poco), che difficilmente il volume sarà eguagliato e superato per un bel numero di anni.

Il secondo aspetto che mi sembra utile affrontare è l’edizione in sé stessa, rispetto a tante pulsioni sovraniste o nazionaliste che inquinano i nostri giorni e invadono i social media. Il libro è scritto in una lingua che oggi è in grado di raggiungere un potenziale numero di lettori assai vasto; ed è pubblicato a Tunisi, su iniziativa dei Tunisini, in una edizione graficamente impeccabile. Certo, io stesso, noi tutti ci auguriamo che possa presto essere tradotto anche in italiano per raggiungere un numero ancor più ampio di lettori e diffondersi davvero anche nelle librerie della nostra nazione. Ma già così il risultato è conseguito. Se provo inoltre a confrontare la lista degli autori di questo volume con quella di altri sull’argomento, analoghi e precedenti, trovo un altro elemento di novità che occorre segnalare. Non è l’Europa che si interessa a una antica civiltà regina del Mediterraneo, ma sono studiosi/uomini del Mediterraneo moderno che esaminano le comuni e antiche radici. Osservi altresì i logo presenti sulla quarta di copertina, in basso, accanto all’ISBN: ci troverà tre “anime” degli studi contemporanei sul patrimonio archeologico della Tunisia.

A sinistra il logo dell’Institut National du Patrimoine, che partecipa al volume con i suoi ricercatori e di Cartagine arricchisce la conoscenza con scavi e ricerche continue. A destra il logo della Agence de Mise en Valeur du Patrimoine et de Promotion Culturelle; che ha pubblicato il volume e che si occupa della valorizzazione del patrimonio archeologico tunisino, dalla preistoria al medio evo e non solo. Al centro il logo della SAIC, “Scuola Archeologica Italiana di Cartagine”, presieduta proprio da Attilio Mastino, sorta nel 2016, che si propone come voce della comunità scientifica italiana interessata alle antiche civiltà mediterranee, relativamente alle Scienze Storiche, Archeologiche e dell’Antichità, alla Storia dell’Arte, alla Conservazione, alla Valorizzazione e al Restauro dei Beni culturali. La SAIC intende favorire il coordinamento tra le iniziative della cooperazione italiana, appoggiare opportunità di ricerca, formazione e diffusione delle conoscenze, valorizzare gli apporti di ogni singola iniziativa, contribuire attivamente al dialogo interculturale e alle politiche di sviluppo della Tunisia e più in generale dei paesi del Maghreb. L’idea de libro, come avrà compreso, è nata anche a seguito della nascita della nostra Società scientifica, della stretta collaborazione paritetica tra italiani e tunisini, per la riscoperta e valorizzazione del patrimonio di Cartagine. Lavoriamo insieme, ci arricchiamo delle competenze e delle conoscenze degli altri, diamo spazio a tutte le voci della ricerca e promozione culturale, collaboriamo con l’Istituto Italiano di Cultura e l’Ambasciata di Tunisi e con tutte le istituzioni tunisine qui citate. Ma su questo non mi dilungo; ci trova al sito https://www.scuolacartagine.it/ e su Facebook (@scuolaCartagine) , mentre le nostre pubblicazioni, che proprio a “Cartagine” si intitolano, le trova disponibili gratuitamente sul sito http://ojs.unica.it/index.php/caster.

Quanto alla “grandezza” di Cartagine (eviterei di parlare di “missione”, però), mi limito a rimandare alle pagine conclusive firmate da Samir, 414-415. Sui miti di Cartagine, o meglio su Cartagine nei miti e nelle ideologie (dalla pelle di bue tagliata a strisce da una donna/regina, alla fama della terribile statua di bronzo del dio divoratore di bambini, all’infida Cartago e la rivisitazione delle guerre puniche nella propaganda fascista), il discorso sarebbe ancora più lungo, seppure non meno affascinante; ma ho scritto già troppo e spero di avere dato risposta piena alle sue domande.

Ora diamo la parola al Prof. Bartoloni.

Com’è nata l’idea di realizzare un volume così impegnativo su Cartagine?

“Un primo volume di ampio respiro e di grandi dimensioni è stato pubblicato nel 2016 per ricordare le vittime dell’attentato al Muséedu Bardo. Da questo volume è nata probabilmente l’idea di pubblicare un volume gemello su Cartagine.”

Ho definito impegnativo il volume perché è evidente che sia occorso un impressionante lavoro di coordinamento…

“Samir Aounallah e Attilio Mastino hanno coordinato il lavoro dei differenti Autori, assegnando i vari capitoli agli specialisti del ramo.”

Come si è svolto tale imponente lavoro di coordinamento anche per via del fatto che il volume affronta una quantità rilevantissima di questioni…

“Il lavoro è stato coordinato materialmente via mail e i testi prodotti sono stati esaminati da Samir Aounallah, che ha indicato ampliamenti, tagli e correzioni.”

Ciò che rende unico il volume “Cathage…” è che riesce a dare per la prima volta un’idea ben precisa e fondata della grandezza di Cartagine…

“E’ evidente che il volume è destinato anche al cosiddetto grande pubblico, ma l’interesse dell’opera è dovuto alla presenza dei contenuti delle ricerche più recenti effettuate dagli specialisti del ramo e dei singoli argomenti.”

Ho molto apprezzato questo continuum storico che abbraccia la storia di Cartagine dal periodo fenicio a quello musulmano, mentre l’attenzione di tutti si appunta solo al periodo fenicio e alla sconfitta ad opera di Roma…

“Cartagine ha avuto una sua storia anche dopo l’islamizzazione della Tunisia. Ciò che è importante è la constatazione che la storia di Cartagine fenicia e punica, dunque preislamica, è sentita come storia patria dal Popolo tunisino.E’ chiaro che Cartagine interessa anche il mondo romano, perché nessun nemico di Roma è stato così vicino alla vittoria.”

Perché “Carthage Maitresse de la Mediterranée Capitale de l’Afrique”?

“Cartagine tra la seconda metà del VI e fino alla metà del III secolo a.C. è stato il “tutore dell’ordine” del Mediterraneo occidentale. Nulla e nessuno si è mosso senza il suo beneplacito.”

Perché “Maitresse” e perché “Capitale”? Che relazione intercorre fra questi due termini?

“Maitresse significa Signora, anche in sottile ricordo della mitica regina Elissa (Didone); capitale perché tra il VI e il III secolo a.C. è stata padrona o, comunque, tutrice delle terre affacciate sul Mediterraneo occidentale.”

Cartagine ha svolto un ruolo di cerniera fra Europa, Mediterraneo, Asia Minore ed Africa; come è riuscita ad assolvere a tale delicata missione?

“Cartagine non è stata fondata come colonia solitaria, ma, tra il IX e il VII secolo a.C., numerose altre città fenicie hanno costituito i capisaldi del commercio dell’argento in tutto il Mediterraneo. Ricordo Sulky in Sardegna, Mozia in Sicilia, Huelva nella Penisola Iberica.”

Possiamo definire Cartagine la prima città moderna del mondo antico? Se si perché?

“Una sola considerazione basta a definire il valore di Cartagine nel mondo antico: si tratta, oltre ad Atene, dell’unica città di cui Aristotele ha descritto la costituzione!”

Cartagine attrae per il suo fascino… C’è molto mito nella sua narrazione, non credete?

“Molti miti di origine fenicia, greca e romana si sovrappongono, ma il nucleo centrale di origine orientale è abbastanza enucleabile. Per esempio la dicotomia tra il potere regale, che esprimeva la politica “progressista”, e quello religioso, che invece caldeggiava la politica “conservatrice”. Ancora oggi, in Oriente si verifica la stessa situazione.”

Come Cartagine ha costruito questa aurea di città leggendaria?

“Il mito lo ha costruito probabilmente Roma, in relazione alle guerre senza quartiere combattute per circa un centinaio di anni. Se il nemico vinto viene nobilitato, anche il vincitore trova ulteriore giovamento e maggiore fama.”

Ci sarà un seguito al primo volume riguardante Cartagine?

“I futuri volumi non sono in programma ma sono possibili: si potrebbero approfondire alcuni argomenti che necessariamente sono stati solo sfiorati.”

- Recensione di “Carthage, Maîtresse de la Méditerranée, Capitale de l’Afrique”:

“Carthage, Maîtresse de la Méditerranée, Capitale de l’Afrique”

- Sito ufficiale della SAIC:

SAIC

- Photo credits:

La foto di copertina è stata presa dal sito http://ripassofacile.blogspot.com